S’émerveiller, c’est une des clés essentielles qui permet de sortir de l’angoisse, de la peur ou de ce qui nous déplaît. La première rose du jardin vient d’éclore il y a quelques jours. Que de beauté à explorer, à dévorer des yeux, à contempler, à gratifier. J’ai ressenti un plaisir intense mes yeux se sont fixés, je me suis approchée et j’en ai profité pour la sentir et la toucher. Un fait qui pourrait paraître si anodin, d’une simplicité qui permet pour quelque temps d’oublier les désagréments. Si vous avez un jardin ou des plantations, ou que vous avez l’occasion de vous promener au cœur d’une végétation fournie et variée, posez votre regard l’espace d’un instant. Peut-être le faites vous déjà et vous êtes en émoi.
Une amie m’a demandé de lui envoyer la photo, quand je lui ai indiqué qu’une des premières roses venaient d’éclore. « Elle aime la beauté de la nature ». Ces mots ont résonné en moi. Tant de personnes apprécient comme mon amie, alors continuons à cultiver ceci, la nature nous offre tant de richesses. J’ai ainsi décidé de partager à un plus grand nombre ces quelques lignes pour rappeler de choyer notre nature et de poursuivre cet émerveillement. La nature nous porte, elle avance avec ou sans nous. Je préfère qu’elle soit notre alliée. Toute cette beauté est partout autour de nous. Que vous ayez ou non un jardin, je vous invite à prendre le temps de contempler en s’arrêtant quelques instants sur des fleurs ou un arbre. Vous ressentirez des émotions certainement positives, alors laissez vous portez et respirez. Sans vous en rendre compte vous aurez médité et aurez pris un shoot de bien être. La nature offre gratuitement des plaisirs immédiats. Pourquoi s’en priver?
Inspiration du soir j’adore les brocolis alors toutes les raisons sont bonnes pour le cuisiner à l’envie. C’est un légume de saison fin hiver début de printemps.🥦🥦
Pour la pâte je fais la pâte brisée issue du livre de Lyse Petitjean « yummix » à base d’amande. Vous pouvez faire toute autre pâte brisée mais celle ci est de loin la meilleure et healthy avec l’apport des oméga 3 et magnésium.
J’ai choisi de faire une tarte en ne cuisant pas les légumes au préalable pour éviter d’altérer leurs minéraux avec deux modes de cuisson à suivre (vapeur et four, pour le coup, il n’y a que la cuisson au four!). Le gout est ainsi surprenant, à chacun de redécouvrir différents modes de cuisson et le croustillant des légumes.
Ingrédients : 1 brocolis grand ou 2 petits 4 petits navets 2 échalotes 200 ml boisson végétale 200 ml crème végétale amande ou coco (le coco se marie très bien avec les brocolis) Œuf Poivre Graines de pavot ou sesame
Laver, éplucher les légumes Le pied du brocolis se mange aussi, éplucher le, cette partie est tellement tendre. Mixer Appareil : Mélanger un œuf + 300 ml de lait + crème amande ou coco + herbes aromatiques au choix + poivre et/ ou moutarde bio sans sulfites Étaler la pâte mettre les échalotes émincées crues sur le fond de pâte Astuce mettre du papier cuisson ou une feuille de cuisson réutilisable étaler la pâte (privilégier moulé à tarte en faïence en verre) Étaler les légumes mixés, la garniture est assez épaisse. Verser l’appareil, planter une spatule pour que l’appareil se mélange avec la garniture. Enfournez 35 à 180° et 10 minutes à 165° Savourez
« Autant prendre l’ascenseur car votre vie sera une série de hauts et de bas » Napoleon Hill indiquait ceci dans son ouvrage « les 16 lois du succès ».
En avez vous conscience? Oui cette phrase sonne comme une évidence. Je pense qu’il est vraiment nécessaire de se l’imprimer dans le crâne afin de nous aider à faire face surtout dans les moments les plus ternes.
Quand on se trouve dans le bas de la courbe, il est souvent difficile pour certains de trouver les moyens de remonter, d’être en haut de cette dernière et de se booster. Quand on se trouve en haut, on profite et on savoure, on aimerait que ça dure pour l’éternité. Mais ce serait vide de sens que de ne vivre qu’en « haut »! Parfois on s’énerve et on n’accepte pas ce que la vie nous propose parce que cela nous semble injuste parce que nous n’obtenons pas le résultat escompté.
Je me suis retrouvée plusieurs fois dans ces situations où je me disais qu’après autant d’efforts fournis le résultat n’est pas à la hauteur de ce que je prévoyais. Avec cette phrase, je retrouve le moral. Quand je suis dans le « bas », je réagis différemment. Je modifie ma perception. Je l’accueille ce « bas » et quand je suis prête, que j’ai quitté la colère, le ressenti,la déprime, je repars avec un mental conquérant et je me dis que je n’ai pas encore tout essayé, je n’ai pas encore réalisé ce que j’avais à faire pour obtenir le résultat. Ces phases de « bas » durent ainsi moins longtemps, me plongent moins dans une léthargie et une apathie qui me coupent toute envie d’agir. La vie, c’est affronter ce qu’elle nous présente et y faire face. Pourquoi s’arrêter au beau milieu du chemin? Nous ne connaissons même pas la longueur de la route à parcourir. C’est cela aussi avoir la foi. Croire que ce dans quoi nous nous lançons va réussir et mettre nos efforts en conséquence pour accomplir nos actes. Ne pas s’arrêter et avancer. Cela m’arrive de me démotiver, de me sentir impuissante ou pas assez à la hauteur, ça fait partie du processus. Puis, je puise dans des ressources multiples (lecture, vidéos motivantes, méditation, proches, amis connaissant des situations similaires, mentor, ballades de plein air, musique) et là ça repart. Les hauts et les bas forment une belle courbe quand on regarde avec le recul. Cependant sur l’instant quand on vit le moment on peut se sentir soit désemparé et au fond du trou, soit catapulté au sommet.
Je suis dans un processus de changement dans ma vie sur le plan professionnel. Cette étape représente un travail de fourmi et une introspection profonde d’autant plus qu’ayant été en maternité, mes hormones venaient perturber le paysage soit de façon positive ou négative. Je fais avec, j’observe parfois mon côté démon entre irritabilité et agacement suprême et mon coté ange amour et partage en continu. Lorsque l’on arrive à comprendre que la vie est , on peut décider d’en être l’acteur et non plus le spectateur qui subit. Elle devient clairement plus accessible.
Si vous rencontrez des difficultés pour quelques étapes de votre vie dites vous vraiment avec conviction que la lumière est réellement au bout du tunnel même si vous n’en connaissez pas la longueur. Gardez à l’esprit que l’issue est toujours possible et donnez vous les moyens d’y parvenir. #dévperso #goodmood #question existentielle #avoirlafoi
Hé non, je ne vais pas vous parler de crème solaire ! Ce n’est pas la saison, là où je réside. Je vais parler de l’écran de télévision. Un polluant insidieux si l’on n’est pas conscient et qui prend trop de place dans nos vies.
Pendant toute cette période de grossesse où j’ai pu avoir du temps à ma disposition j’ai vraiment apprécié cette pratique de profiter à bon escient.
Ma télé est éteinte, je paye une redevance et je ne l’allume jamais (depuis les 1 an de ma fille 2015) je ne connais plus la teneur des programmes, ni la qualité des animateurs présents dans le paf, ni ces musiques de génériques qui pour certaines restent cultes, ni ces magnifiques publicités colorées qui pourraient m’aider et me guider profondément dans mes achats, ni ce « jt » qui me donnerait tant d’espoir en l’humanité !
Le déclic a été cette passivité constatée, la découverte d’auteurs et mentors inspirants. Devant un écran nous sommes comme les oies que l’on gave pour leur foie gras. Nous sommes hypnotisés et inconscients de tout ce qui entre dans notre tête et cela reste encré pour des siècles avec des effets délétères. (si tant est que l’on vive plus d’un siècle, ça peut arriver toutefois).
J’ai eu envie de retrouver mon libre arbitre. Après toutes ces années où je l’ai regardé avec plaisir où je me suis délectée de programmes divertissants, de séries, de films, sans comprendre à quel point elle avait pu avoir un impact négatif, je l’ai remisée à sa juste place. Elle sert d’écran de projection pour des documentaires et films choisis par moi même.
J’ai choisi de mettre à profit ce temps pour moi, je lis, je me forme, je me documente sur les sujets qui me passionnent et vers lesquels je souhaite m’orienter professionnellement, je soigne mon corps, je cuisine, je prends du temps avec les gens que j’aime, je déjeune en bonne compagnie, je profite de ma famille. J’éprouve aussi de la fatigue et je m’accorde la sieste.
Ce moment que l’on appelle « parenthèse » avec la grossesse est réellement une période particulière. On peut se construire une vraie bulle de bien-être. Appropriez vous ces instants quand vous le pouvez et savourez les. La grossesse est une période où la femme enceinte doit s’entourer de vibrations fortes et positives pour construire cette vie en elle au mieux et apporter l’amour nécessaire à cet être tant attendu. C’est vraiment la magie qui opère malgré parfois certains désagréments.
Et vous, avez-vous conscience de la place qu’occupe votre télévision dans votre vie?
Chaque année ça recommence janvier pointe le bout de son nez. Trop vite me direz vous? Non juste à temps alors vivez et ne perdez pas de temps à ruminer. Ombres et lumières, obstacles et chemins droits, hauts et bas, ying et yang tel est le sens de la vie. Je vous souhaite la force d’affronter vos épreuves, la gratitude d’apprécier les bonheurs et la joie de vivre l’amour au quotidien avec ceux qui vous entourent.
Belle année 2020
Une soeur pour moi c’est une chance, un appui, une complice, une accompagnatrice.
Bien sûr ça n’a pas toujours été des moments de joie et de rire, il y a aussi les disputes, les incompréhensions, les séparations. Nous nous sommes construites avec nos propres expériences chacune, nous avons bénéficié parfois de l’aide de l’une de l’autre. Nous nous sommes perdues de vue.
En grandissant nous avons compris que nos différences créaient nos richesses que nos désaccords alimentaient nos experiences et nos visions.
L’amour d’une soeur est un cadeau. Pour tous ceux qui ont la chance d’appartenir à une fratrie, je vous souhaite l’amour. Ce lien est precieux, entretenez-le autant que possible. Même si vos visions diffèrent le respect de la vie de chacun est de mise. Regardez son frère ou sa soeur avec amour et l’encourager dans ce qui lui tient à coeur, c’est ça l’amour véritable fraternel.
Je souhaite un Joyeux anniversaire à ma sœur en ce jour glorieux.
Une après-midi où la féminité était a l’honneur. Flashback!
bibliothèque de photos gratuites pexels
Tester de nouvelles expériences, mettre son corps dans de nouvelles positions, explorer de nouveaux environnements permet de changer de cadre, de se sentir bien, de se dépasser, de rencontrer de nouvelles personnes. J’ai participé à un stage de pole dance au pole fit studio. Trois heures où nous étions un groupe de 5 personnes et nous ne nous connaissions pas. Nous avons suivi les instructions de la bienveillante et charmante professeure Marilyn. Elle sait mettre en avant chacun des élèves, nous encourage et nous laisse libre d’écouter notre corps, nos capacités, nos envies.
Marilyn la prof et moi
L’image du pole dance avec certains films ou certains établissements ont pu faire penser que cette discipline est réservée à une catégorie « sous estimée de la gente féminine ». Oui parlons crûment certains associent pole danse à «filles de petite vertu». Mon compagnon discutait avec une autre personne qui lui a tenu ses propos « Ah oui le pole dance ce sont les filles qui font du streptease! » Schéma raccourci et réducteur. Les étiquettes ont la vie dure! Oui, il faut une case à chaque fois pour rassurer. On range tout bien dedans et tout le monde est content!
Je n’ai rien ressenti de tout cela en faisant cette initiation. J’ai ressenti le fait de pratiquer un sport, de la technique avec un atout en plus : la sensualité. Et oui souvent on confond sensuel avec sexuel. Le corps peut exprimer cela, autorisons nous à exprimer sans vulgarité et sans amalgame. Avec certains clips musicaux, où la femme n’est plus juste un être humain mais une marchandise.
Je remercie Marilyn pour cette initiation qui nous a permis de nous faire du bien :
au corps : techniques, étirements, souplesse
au cœur : j’aime qui je suis et la propre image que je renvoyais dans le miroir, je suis une femme qui laisse parler sa féminité, pas de jugement de la part de chaque participante et des encouragements pour chacune
à l’esprit : je me concentre sur l’instant présent et ce que j’expérimente au travers de cette discipline. Mon esprit est joyeux.
J’avais envie de souligner l’importance de ces cours, instants intenses de bonheur que nous avons la chance de vivre dans la vie et sur lesquels il est important d’avoir une gratitude.
Je vous laisse tester cette discipline ou toute autre nouvelle expérience où votre corps, votre esprit et/ou votre cœur pourra s’exprimer et se sentir bien.
Ici j’aborde le thème de la douleur lié à la maternité au moment de l’accouchement. Je vis actuellement ma deuxième grossesse et j’ai pu progresser sur ce terrain. Au moment où j’écris l’article je n’ai pas encore accouché de mon deuxième enfant.
Ma sage-femme m’a prêté un ouvrage qui a changé ma perception sur l’accouchement. J’aurai souhaité pouvoir le lire dès le premier car en phase de découverte, alors primipare, cela aurait été d’une aide encore plus précieuse. Comme on sait le passé est le passé, je ne vais pas le réécrire.
Lors de mon premier accouchement je ne voulais pas avoir recours à la péridurale. J’imaginais pouvoir accueillir mon enfant avec toutes les sensations présentes et accompagner mon corps. Plusieurs facteurs ont freiné cette décision et m’ont fait changer d’avis.
1er cas de figure: A l’approche du terme, trop de personnes autour de moi m’ont témoigné de leur accouchement en ne faisant état que de la douleur et de la souffrance. Je suis tombée dans la peur et ça m’a paralysé. J’ai donc opté pour la péridurale, mon action a été guidée par la peur et non plus par le cœur et tout ce que j’avais construis.
2eme cas de figure: Lorsque j’ai visité la cité sanitaire, ils avaient des espaces (2 ou 3 salles pour l’accouchement « sans analgésie » mais la sage femme insistait bien sur le fait que ces espaces n’étaient pas pratique et je ne me sentais pas rassurée. S’il y avait quelque chose qui dérapait, dans ma tête ça tournait cours et je n’arrivais plus à me projeter dans ses salles qui étaient pourtant adaptées à mon souhait au départ . Et pourquoi penser au pire ?? Et bien c’est ce qui m’est venu à l’esprit dans sa présentation.
3eme cas de figure Des témoignages autour de moi, ou plutôt des jugements (je pense que ces personnes ne pensaient pas à mal, elles exprimaient leur opinion, cf les accords toltèques!!!), « T’es folle de ne pas faire ça. Ca va te soulager. Si ça existe c’est que c’est important pour la femme enceinte. »
4eme cas de figure : D’autres m’ont indiqué ne pas savoir doser la pompe et ne rien ressentir quand à la poussée, moment alors décisif pour que bébé sorte. Là, nous atteignons les limites de l’analgésie, si le geste n’est pas maîtrisée la femme perd ainsi ses sensations.
J’ai envie de dire aux femmes enceintes pour qui la grossesse est optimale et dont l’état de santé ne nécessite pas de médicalisation, n’écoutez pas la peur des autres, ne vous laissez pas envahir par vos propres peurs. Fiez-vous à ceux qui vous accompagnent, aux professionnels et à votre ressenti. Non sans vouloir mettre la zizanie dans les relations amicales ou familiales, je souligne le fait qu’une femme qui parle de son accouchement est dans l’émotion, le recul et la raison ne sont plus là. Elle peut effrayer les autres sans s’en rendre compte. Surtout pour celles qui auront à le faire pour la première fois. Dites ce dont vous avez besoin à votre entourage pour qu’ils vous accompagnent dans le sens du bien-être et non pour semer des doutes et vous mettre mal à l’aise. Ils ne pensent pas à mal et si vous n’échangez pas ils ne sauront pas ce qui vous permet de vous sentir bien.
En parcourant cet ouvrage je retrouve confiance en cette étape de la vie qui demande un effort à la mère et qui me permettra de mobiliser tous mes sens. J’appréhende différemment la gestion de cette douleur tant diabolisée. Je visualise davantage ce moment où je serai en phase avec le bébé qui va naître et que je vais accompagner vers la sortie. Je ne dis pas que je n’ai pas peur, la peur est toujours présente, en revanche je ne lui donne pas l’importance qu’elle a pu prendre dès le dernier trimestre lors de ma précédente grossesse.
Les peurs sont bien souvent mauvaises conseillères, elles sont présentes et je les jauge mais je ne laisserai pas cette fois-ci guider cet accouchement. Je ne sais pas ce qui m’attend. Tout ce que je sais c’est que je vais vivre un instant inoubliable en confiance où l’amour sera présent et où j’aurai en amont fait un travail sur la gestion de la douleur. Ce n’est pas une fatalité, je vous invite à la lecture de cet ouvrage qui peut débloquer bien des noeuds dans votre esprit et vous faire avancer vers une autre vision de l’accouchement. Nous sommes toutes conditionnées par notre éducation, notre culture, nos lectures, nos relations. Parfois il faut faire un pas de côté et tenter de nouvelles expériences qui nous font avancer et grandir. Ce livre en fait partie.
Il est de coutume de dire que les hommes viennent de Mars et les femmes de Vénus. Ceci se vérifie car notre perception est totalement différente face à une situation. Au passage, je vous conseille la lecture de cet ouvrage très riche qui perce bien des mystères et ouvre les arcanes de la compréhension.
Nos différences font notre complémentarité et c’est toute la richesse des relations hommes femmes. Oui parfois je m’arracherais les cheveux. Pourquoi ? Uniquement parce que je voudrais qu’il comprenne mieux ce que je ressens, ou quand l’ego est trop présent je voudrais carrément qu’il agisse comme moi j’agirai. Comme si notre évidence était celle de l’autre!! J’ai compris beaucoup ces derniers temps. Et oui le développement personnel, la conscience de soi, c’est un travail de tous les instants et j’apprends au quotidien face à chaque contrariété ou chaque bonheur.
Mon travail actif (work in progress!!!) dans ma vie de couple est de mettre en balance d’un côté tous les efforts, les actions spontanées, ou les réponses à mes demandes formulées qu’il met en place. Et de l’autre des choses que je constaterai qui ne correspondent pas à mes attentes.
Les attentes c’est ce qu’il y a de pire, ça gâche le jeu, ça gâche l’enthousiasme, ça gâche les efforts. Alors maintenant je me parle. Si je peste parce qu’il n’a pas rangé ceci ou cela ou qu’il n’a pas eu le temps de faire une action que je lui ai demandé, je me dis « Ah mais il a fait ça ou il t’a aussi prêté cette attention ». Ce n’est pas distribuer les bons points, c’est remettre les événements dans leur contexte et arrêter d’appuyer sur le bouton rouge. Je vous rassure j’ai encore du travail et je m’améliore, enfin posez la question à mon conjoint.
Dernièrement j’ai eu une très belle preuve d’amour c’est le fait que mon chéri se soit déplacé pour moi à une formation car je ne pouvais pas y aller, or il avait déjà travaillé toute la semaine ( je précise il est au-delà des 35H semaine) et il ressortait un dimanche. Avoir une attention pour l’autre, le soutenir dans ces projets. C’est là où réside la puissance de la relation. Mettre en avant les efforts de l’autre, ses actions pleine d’amour et d’envie, ses réalisations plutôt que ce qui manque c’est le vrai défi. J’ai encore à travailler sur ce chemin et j’en suis consciente. Et c’est là cette vraie richesse de l’évolution de notre couple.
Je me considère comme une personne chanceuse et une personne épanouie. J’ai énormément de bienveillance et d’amour autour de moi c’est pour cela que je la cultive et je vous partage cela pour vous donner aussi de cet amour qui vous fera du bien. En vibrant de cette énergie vous ne pouvez qu’avoir confiance en la vie alors ne renoncez pas et ayez toujours envie d’avancer, de croire, de partager.