Grossesse, préparation complète

Les surprises, la spontanéité sont des parties qui mettent du piment dans la vie et c’est essentiel. Pour les grands projets une préparation est cependant utile. J’ai la chance d’être maman deux fois et j’ai pu vivre deux grossesses. Le message que j’aimerai diffuser aujourd’hui est l’importance de la prévention et de la préparation pour les futures femmes enceintes.

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Porter la vie est une grande reponsabilité et il n’est pas utile de s’y pencher uniquement dès le test de grossesse mais bien dès l’envie de concevoir.

Beaucoup d’aspects seront à considérer pour préparer cette belle aventure. Enfin je vous la souhaite telle qu’elle, ce n’est pas le cas pour tout le monde.
La préparation se fait pour le corps dans le cadre d’un suivi médical. Ça c’est la version classique. On peut choisir d’aller plus loin.

Dans quel état se trouve mon corps pour accueillir la vie ? L’ai-je suffisament choyé pour lui permettre d’accueillir une maternité ?
Dans quel état se trouve mon esprit ? Suis-je triste, me sens-je déprimée, n’ai-je plus confiance en la vie, en moi même, aux autres ? Dans quel état est ma relation avec moi même, avec mon conjoint, avec ma famille ?

Quelle vie souhaité-je pour mon enfant, qu’ai je envie de lui transmettre ?
Avoir le soutien des proches est un réel atout. Non seulement pour des conseils lorsque vous aurez des besoins et également pour une aide plus logistique quand vous aurez atteint vos limites de mobilité !!!!
La maternité c’est aussi pour les primipares tout un nouvel univers à explorer. Etre curieux bienveillant, tourné vers l’autre et l’envie de construire sont les clés d’une maternité épanouie.

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La prévention englobe tous les éléments qui se rapportent à votre essence, à votre nature, je conseillerai même de se lancer dans la méditation ou des pratiques qui permettent de se reconnecter avec soi même pour certains ce sera le sport (différentes pratiques la course, la natation, le taï chi, le yoga, la danse, le pilates…) pour d’autres ce sera la méditation, la cohérence cardiaque.

Prendre le temps d’être avec soi même est fondamental. Parfois il est plus facile de fuir la solitude que de s’y confronter frontalement.

Oui j’insiste donner la vie mérite toute notre attention et cela commence dès l’idée de votre projet. Un terrain avec de meilleures fondations ne fait pas s’effondrer l’édifice !

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#grossesse #goodmood #prevention #connexionasoi #meditation

A la recherche d’un statut social

J’ai compris aujourd’hui après 12 ans de salariat que baignée dans un conditionnement, je n’étais pas à la recherche d’un métier qui me correspondait mais d’un statut social .
Fille d’ouvriers et issue de ce qu’on appelle la minorité. Oui je suis noire. En quoi cela fait de moi une minorité (ce terme dénote toute l’infériorité à laquelle on peut soustraire une catégorie de la population) Ce n’est pas ce que je ressens! Mais le politiquement correct me fait rire.


J’avais entendu pendant des années parler du déterminisme social. La condition sociale des parents faisait aboutir l’enfant à la même catégorie socio-professionnelle qu’eux dans plus de 60% des cas. Alors heureusement que mes parents m’ont toujours encouragé et permis d’exercer des activités extra scolaires qui m’ont donné la chance d’explorer mes talents, le sport, la musique, la sociabilité.  Merci à eux.

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A la fac, en troisième année il était difficile de faire un choix sur le métier que j’avais envie d’exercer. Ayant des croyances limitantes liées au domaine de l’argent et de forts à priori, beaucoup de métiers n’étaient pas accessibles enfin c’est ce que je croyais.
Un jour ma mère m’a sorti la phrase clé.  « Va vers la fonction publique, c’est la sécurité de l’emploi ».  C’est la motivation qui m’a guidé au départ vers ce secteur. Un bac plus 5 en poche, je décide, ensuite, de me préparer aux concours.

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D’abord en-tête les ira (instituts régionaux d’administration), puis finalement, peu convaincue par le fonctionnement lié à la distribution des postes à l’issue de ce concours,  je me tourne vers la fonction publique territoriale. Acharnée ! A qui le dis tu? Pour objectif, le concours d’attaché.  J’occupe un poste de secrétaire puis obtient le concours de rédacteur et enfin après 5 tentatives j’obtiens le concours tant désiré d’attaché. Pour ceux qui ne connaissent pas il y a trois catégories A B C. J’ai fait les trois. J’ai gravi les échelons comme on dit dans le jargon !
J’ai recherché un poste correspondant et je l’ai occupé pendant 10 ans. J’avais atteint le statut social tant attendu, la revanche sur la categorie sociale.

Anna schvets


Cadre de la fonction publique en la qualité de manager. A l’époque pour moi c’était le graal. Quand la DRH me dit après mon arrivée en 2010, il va falloir que tu mettes ton nom sur la porte et ton titre »Responsable de… ». Je n’en revenais pas moi-même. Mon ego appréciait le titre et en même temps je ne m’en sentais toujours pas légitime.  Nous sommes dans cette société gouverné la plupart du temps par l’attrait du plus beau titre . Cela flatte l’ego.  Me concernant à cette époque c’est l’effet que cela me faisait et j’en étais fière.
J’ai occupé ce statut social pendant 10 ans. Un rythme intense. Si si je vous l’assure avant d’avoir ma fille je ne sortais pas à 17h30. Mais ça aussi c’est très culturel en france. Sortir tôt ne veut pas dire que l’on néglige son travail. Ceci est un autre débat.

Andrea Piacquadio


Un jour je me suis réveillée suite à un ensemble d’événements, j’ai eu envie d’une autre vie professionnelle, je voulais exercer une activité qui me correspondait vraiment où je n’aurais pas besoin de me travestir où je pourrais être moi-même. Pas facile.  Car à l’école on ne nous apprend pas à être nous-mêmes.  On nous apprend à avoir ou occuper un métier pour payer les factures et rembourser les crédits. Quand j’y repense j’en rigole. Les profs à la fac disait « Avec votre diplôme vous pouvez prétendre à un salaire de 2500€ « . Ce dont je ne me souviens pas c’est s’ils parlaient en brut ou en net! Mon salaire mensuel n’était pas de cet équivalent, il s’en est presque rapproché avant mon départ.


Aujourd’hui cette page professionnelle de ma vie est tournée. Je suis moi-même et je me sens beaucoup plus en harmonie avec mes valeurs pour poursuivre mes nouveaux projets. Et surtout je dispose de temps pour être avec ma famille.

Elle Fairytale


Et vous quel statut social cherchez vous ou avez-vous cherché ? Où cela vous a t il mené ou vous mène t’il? Êtes vous passionné par votre métier ou enchaîné?

Je ne regrette rien de cette expérience et je n’ai pas le sentiment d’avoir perdu mon temps,  j’ai découvert un monde professionnel qui m’était alors inconnu et où j’ai pu faire mes armes et de très belles rencontres.

#statutsocial #fonctionpubliqueterritoriale #etresoi #travail #experienceprofessionnelle #serenouveler #reconversionprofesionnelle

Sacro sein !

Le sein est l’objet de toutes les convoitises. Dans notre culture il a été enseigné qu’une femme respectable devait cacher ses tétons et porter un soutien gorge dès l’apparition d’une poitrine même petite. On ne saurait tolérer l’apparition proéminente de cette pointe qu’on n’oserait désigner.

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Quand on est adolescent, on les cache car cela peut être provocant, peut s’ajouter à cela le facteur manque de confiance en son corps. Pour certaines femmes, la poitrine fait l’objet de jugement permanent, à leur propre égard. On ne les trouve jamais assez gros et on les affuble d’instruments de torture de tout genre pour lez rendre pulpeux les rendre volumineux, se donner de la consistance ou prestance. On peut user de chirurgie pour  se délester ou au contraire se façonner une silhouette que l’on souhaite plus avantageuse.
Nous passons par différentes phases selon notre état d’esprit, notre âge, nos envies, nos rencontres.

Crédit photo Stéphane geoarmonie

Pour ma part, je vais vous partager mon expérience avec mes seins. Oui parlons ouvertement des attributs féminins.
J’ai complexé d’avoir des petits seins à la post adolescence. Ma pensée était la suivante « mes copines ont des petits amis parce qu’elle ont des plus gros seins que moi ». Ah comparaison quand tu nous tiens! Ajoutons une bonne dose de manque de confiance en soi. On secoue l’ensemble et cela fait une excellente recette du je n’aime pas qui je suis !
Oui l’esprit humain est torturé. Vous connaissez le concept du: l’herbe est toujours plus verte ailleurs !
Donc quand on n’aime pas son corps ou que l’on rejette le moindre défaut c’est contre productif n’est ce pas?!
J’achetais des Wonderbra ou les soutiens avec une coque, les fameux push up, pour avoir les vêtements qui tombent bien sur mon torse et pour que ça fasse beau sinon quand c’est plat c’est moche et ça ne fait pas de moi une femme. C’est le genre de pensées que j’entretenais à l’époque. Voici le type de conclusion que je pouvais tirer !

Je pratiquais beaucoup l’athlétisme à une période de ma vie.  J’étais très musclée et on me faisait beaucoup la remarque. Idem le manque de confiance en soi fait focaliser sur les détails qui nous paraissent négatifs et nous n’arrivons pas à apprécier ce que notre corps reflète vraiment. Je recherchais une validation extérieure.

Andrea Piacquadio pexels


Par la suite le grand changement est intervenu au moment de la maternité. Au début le corps se modifie avec la montée de lait. Au delà d’un organe de beauté du corps féminin, il se transforme en organe d’alimentation et aussi s’inscrit comme lien d’intimité et complicité avec son bébé. J’ai adoré ce temps de l’allaitement.
C’est après que les transformations d’état d’esprit ont eu lieu. Le processus s’est enclenché. Acceptation du corps et de toutes ses parties qui évoluent avec le temps et les choix de vie. Mes seins étaient encore plus petits qu’avant et alors. J’ai commencé à les aimer. Plus de soutiens gorge. Instruments de torture à mon sens, corroboré par des lectures sur le sujet. La lymphe est comprimée, (voir à fin de l’article), un autre article résume tout cela aussi sur les bienfaits.  (Voir à la fin de l’article)
Pour la deuxième grossesse j’ai porté des soutiens gorges uniquement au moment de l’allaitement après l’accouchement car souvent il y a des fuites de lait ! J’en ai porté seulement deux mois et demi et j’ai arrêté. Je n’y tenais plus. Mes seins réclamaient leur liberté.

Je fais des exercices de tonification pour que ma poitrine se tienne. Je vous invite à les faire même si vous portez des soutiens. Cela permettra d’activer des muscles endormis.

Et vous où en êtes vous avec votre poitrine? Lui donnez vous l’amour dont elle a besoin ?
#aimersoncorps #amourdesoi #seins #jaimemespetitsseins #freeboobs

https://www.alternativesante.fr/cancer/soutien-gorge-et-cancer-du-sein-retour-sur-une-polemique

https://www.comment-economiser.fr/8-bienfaits-sante-de-ne-plus-porter-de-soutien-gorge.html

Rebondir après un choc professionnel est-ce possible ?

J’avais envie de partager un tournant dans ma vie professionnelle en cette période de déconfinement. Un message d’espoir qui en ressort comme dans toutes situations chaotiques.

Une collègue m’a remis entre les mains un livre que je qualifierai de salutaire en 2019, « Cette comédie qu’on appelle le travail » de Corinne Berthaud.

Vivre une expérience peut être douloureux. Lorsque l’on traverse une période difficile, on ne sait jamais combien de temps cela va durer. Ce que je sais c’est que je n’aime pas rester dans cet état de douleur et de souffrance. Le but est toujours de s’en sortir pour avancer dans notre vie et au fur et à mesure faire un pas après l’autre. Ce livre m’a énormément aidé dans ce processus, en complément de mes outils quotidiens que sont la méditation, la chance d’avoir des proches à mon écoute, des sports doux qui me connectent à mon corps, yoga et pilates.
Pendant 1 an j’ai évolué dans un contexte professionnel dégradé où la communication était de plus en plus difficile avec l’équipe que je manageais. Mon travail a été rendu difficile car je bloquais sur les situations, je n’arrivais plus à m’organiser.

C’est comme un château de cartes où tous les éléments s’écroulent au fur et à mesure. Plus je remettais une carte plus elles étaient nombreuses à tomber. Pour ma part, j’ai eu le sentiment de fournir tous les efforts que je pouvais et de l’autre côté l’institution ne l’a pas perçu comme tel. J’ai été amenée à faire des erreurs qui m’ont inscrite dans la catégorie du « mauvais employé » sans possibilité de changer d’étiquette. Le château de cartes continue à s’effonder et le navire sombre. Telles sont les images qui décrivaient un quotidien qui s’embrumait et s’assombrissait de jour en jour.

Optimiste et déterminée à avancer, je n’ai pas vu cet effondrement arriver, je voulais toujours avancer et arranger les choses. Parfois on s’entête aussi parce qu’on veut SAUVER, soi même, les autres, la situation. Toujours est-il que quand l’heure est venue il n’y a pas d’autres issues que le changement.
Ce livre m’a réellement aidé à ancrer ce que j’ai appris à distinguer, à savoir : assumer ma part de responsabilité et déculpabiliser. C’est tellement libérateur de tourner une page et d’aller vers ce qui nous correspond vraiment. J’avais réussi à enfin définir ce à quoi j’aspirais dans ma vie professionnelle. Briser les chaînes dans mon esprit pour ensuite y arriver physiquement est un processus qui a été lent.

L’image de cette transformation que je vivais est comme une transmutation. Avant d’extraire une huile d’olive riche et si douce, elle est broyée et réduite à néant. La matière d’origine est transformée à l’arrivée par un processus lent qui entraîne des modifications en profondeur. C’est exactement ce que j’ai ressenti dans cet événement qui m’a amené vers cette nouvelle voie. J’ai aussi appris à me connaitre, détecter mes points de faiblesses et mes atouts. L’un et l’autre m’ont servi et desservi.

Je conseille donc ce livre à tous ceux qui s’interrogent parfois sur leur avenir professionnel, qui se sentent mis à mal dans leur environnement professionnel, qui veulent se prémunir d’ambiance dégradées dans le milieu professionnel.

Nous méritons tous d’être épanouis et respectés au travail, d’exprimer ce qui est le plus talentueux chez nous et d’être en accord avec nous même, alors n’abandonnez jamais et ne laissez pas votre santé payer le prix de cette transformation.

A ce jour je vais bien et je remercie toutes les personnes qui ont agi de près ou de loin de façon bienveillante dans cette étape de ma vie.

Je me lance vers mes nouveaux projets. Vous pourrez les suivre au travers de mes différents articles ou sur les réseaux sociaux.

Et vous où en êtes vous professionnellement?

#letravail #goodmood #sepanouirautravailcestpossible #trouversavoieprofessionnelle

Contre la montre, tic tac tic tac

Le contre la montre une étape qui ne se joue pas uniquement au sport!
Partager ses victoires c’est important.  Cela permet de garder un œil bienveillant et valorisant sur soi-même. Les autres qui nous entourent et nous soutiennent peuvent constater les résultats de nos efforts.

Je me suis lancée un défi récent en décembre. Vous direz, si vous le connaissez, « il était temps! » quand vous saurez de quoi il s’agit.

Je souhaite devenir une femme ponctuelle.  Et oui je suis toujours en retard pour des rendez vous et cette année il y a eu beaucoup de situations qui m’ont explosé à la figure. Mon raisonnement est plutôt sur le mode tortue c’est  à dire qu’il me faut du temps pour comprendre les choses.
Mon éducation et mes habitudes de vie ont fait que même si je savais que ce comportement pouvait être dommageable je me suis quand même installée dans cette attitude. Cela m’a causé de nombreux désagréments.
Je tiens à préciser que le fait d’arriver en retard n’était pas une volonté délibérée de manquer de respect, j’étais juste mal organisée. Quand je vois que j’ai le temps, au lieu d’attendre ou de partir plus tôt sur le lieu de rendez-vous je me dit « j’ai encore le temps de faire ceci ou cela. » Je partais donc toujours à l’heure où je devais arriver.
Le plus terrible c’est quand j’ai eu ma fille. Vous connaissez « l excusite ». Et bien j’en ai été atteinte. Ca devenait la faute  de ma fille qui a voulu faire telle chose au dernier moment. Parfois c’est vrai (surtout au début de vie de l’enfant,  le temps de prendre le nouveau rythme de vie) mais passé un certain âge, souvent en tant que parent, on peut s’organiser autrement.
J’ai identifié  tout cela. Comme quoi il est vraiment intéressant  de se pencher sur soi. Ceci afin d’améliorer ce qui nous cause du tort puis ensuite se répercute sur nos relations aux autres. 
J’ai donc pris en main cette caractéristique de ma vie. Je suis à présent sur le chemin d une femme ponctuelle.  Je sais que j’aurai encore quelques ratés. J’ai en tête de toujours garder cet objectif afin qu’il devienne une nouvelle habitude de ma vie, une nouvelle facette de ma personnalité qui m’apportera plus d’avantages et de confort que d’inconvénients et de stress. Je suis en apprentissage.

J’ai eu des victoires comme être à l’heure à un rdv professionnel hier et à un rendez-vous personnel. Et cela se multiplie. J’apprends a patienter quand j’arrive en avance.

Quel sentiment d’accomplissement cela procure d’être  satisfait. Un vrai bonheur. Cela m’a demandé  tellement d’effort. Je dois changer tous mes réflexes.

Et vous célébrez vous vos victoires? Quels axes souhaitez vous améliorer dans votre vie pour être une meilleure personne ?

#retard #satisfaction #depassementdesoi #goodmood

S’émerveiller, profiter



S’émerveiller, c’est une des clés essentielles qui permet de sortir de l’angoisse, de la peur ou de ce qui nous déplaît.
La première rose du jardin vient d’éclore il y a quelques jours. Que de beauté à explorer, à dévorer des yeux, à contempler, à gratifier. J’ai ressenti un plaisir intense mes yeux se sont fixés, je me suis approchée et j’en ai profité pour la sentir et la toucher. Un fait qui pourrait paraître si anodin, d’une simplicité qui permet pour quelque temps d’oublier les désagréments.
Si vous avez un jardin ou des plantations, ou que vous avez l’occasion de vous promener au cœur d’une végétation fournie et variée, posez votre regard l’espace d’un instant. Peut-être le faites vous déjà et vous êtes en émoi.

Une amie m’a demandé de lui envoyer la photo, quand je lui ai indiqué qu’une des premières roses venaient d’éclore. « Elle aime la beauté de la nature ». Ces mots ont résonné en moi. Tant de personnes apprécient comme mon amie, alors continuons à cultiver ceci, la nature nous offre tant de richesses. J’ai ainsi décidé de partager à un plus grand nombre ces quelques lignes pour rappeler de choyer notre nature et de poursuivre cet émerveillement. La nature nous porte, elle avance avec ou sans nous. Je préfère qu’elle soit notre alliée.
Toute cette beauté est partout autour de nous. Que vous ayez ou non un jardin, je vous invite à prendre le temps de contempler en s’arrêtant quelques instants sur des fleurs ou un arbre. Vous ressentirez des émotions certainement positives, alors laissez vous portez et respirez. Sans vous en rendre compte vous aurez médité et aurez pris un shoot de bien être. La nature offre gratuitement des plaisirs immédiats. Pourquoi s’en priver?

#nature #lanatureestuncadeau #goodmood #gratitude #respirer

Comme dans un ascenseur !

« Autant prendre l’ascenseur car votre vie sera une série de hauts et de bas »
Napoleon Hill indiquait ceci dans son ouvrage « les 16 lois du succès ».

En avez vous conscience? Oui cette phrase sonne comme une évidence. Je pense qu’il est vraiment nécessaire de se l’imprimer dans le crâne afin de nous aider à faire face surtout dans les moments les plus ternes.

Quand on se trouve dans le bas de la courbe, il est souvent difficile pour certains de trouver les moyens de remonter, d’être en haut de cette dernière et de se booster. Quand on se trouve en haut, on profite et on savoure, on aimerait que ça dure pour l’éternité. Mais ce serait vide de sens que de ne vivre qu’en « haut »!
Parfois on s’énerve et on n’accepte pas ce que la vie nous propose parce que cela nous semble injuste parce que nous n’obtenons pas le résultat escompté.

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Je me suis retrouvée plusieurs fois dans ces situations où je me disais qu’après autant d’efforts fournis le résultat n’est pas à la hauteur de ce que je prévoyais.
Avec cette phrase, je retrouve le moral. Quand je suis dans le « bas », je réagis différemment. Je modifie ma perception. Je l’accueille ce « bas » et quand je suis prête, que j’ai quitté la colère,  le ressenti,la déprime, je repars avec un mental conquérant et je me dis que je n’ai pas encore tout essayé, je n’ai pas encore réalisé ce que j’avais à faire pour obtenir le résultat. Ces phases de « bas » durent ainsi moins longtemps, me plongent moins dans une léthargie et une apathie qui me coupent toute envie d’agir. La vie, c’est affronter ce qu’elle nous présente et y faire face.
Pourquoi s’arrêter au beau milieu du chemin? Nous ne connaissons même pas la longueur de la route à parcourir. C’est cela aussi avoir la foi. Croire que ce dans quoi nous nous lançons va réussir et mettre nos efforts en conséquence pour accomplir nos actes. Ne pas s’arrêter et avancer. Cela m’arrive de me démotiver, de me sentir impuissante ou pas assez à la hauteur, ça fait partie du processus. Puis, je puise dans des ressources multiples (lecture, vidéos motivantes, méditation, proches, amis connaissant des situations similaires, mentor, ballades de plein air, musique) et là ça repart. Les hauts et les bas forment une belle courbe quand on regarde avec le recul. Cependant sur l’instant quand on vit le moment on peut se sentir soit désemparé et au fond du trou, soit catapulté au sommet.

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Je suis dans un processus de changement dans ma vie sur le plan professionnel. Cette étape représente un travail de fourmi et une introspection profonde d’autant plus qu’ayant été en maternité, mes hormones venaient perturber le paysage soit de façon positive ou négative. Je fais avec, j’observe parfois mon côté démon entre irritabilité et agacement suprême et mon coté ange amour et partage en continu. Lorsque l’on arrive à comprendre que la vie est , on peut décider d’en être l’acteur et non plus le spectateur qui subit. Elle devient clairement plus accessible.

Si vous rencontrez des difficultés pour quelques étapes de votre vie dites vous vraiment avec conviction que la lumière est réellement au bout du tunnel même si vous n’en connaissez pas la longueur. Gardez à l’esprit que l’issue est toujours possible et donnez vous les moyens d’y parvenir.
#dévperso #goodmood #question existentielle #avoirlafoi

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Avez-vous un frère ou une sœur ?

Une soeur pour moi c’est une chance, un appui, une complice, une accompagnatrice.

Bien sûr ça n’a pas toujours été des moments de joie et de rire, il y a aussi les disputes, les incompréhensions, les séparations. Nous nous sommes construites avec nos propres expériences chacune, nous avons bénéficié parfois de l’aide de l’une de l’autre. Nous nous sommes perdues de vue.

En grandissant nous avons compris que nos différences créaient nos richesses que nos désaccords alimentaient nos experiences et nos visions.

L’amour d’une soeur est un cadeau. Pour tous ceux qui ont la chance d’appartenir à une fratrie, je vous souhaite l’amour. Ce lien est precieux, entretenez-le autant que possible. Même si vos visions diffèrent le respect de la vie de chacun est de mise. Regardez son frère ou sa soeur avec amour et l’encourager dans ce qui lui tient à coeur, c’est ça l’amour véritable fraternel.

Je souhaite un Joyeux anniversaire à ma sœur en ce jour glorieux.

#fratrie #amour #respect #gratitude

Notre rapport à la douleur : bébé arrive !

Ici j’aborde le thème de la douleur lié à la maternité au moment de l’accouchement. Je vis actuellement ma deuxième grossesse et j’ai pu progresser sur ce terrain. Au moment où j’écris l’article je n’ai pas encore accouché de mon deuxième enfant.

Ma sage-femme m’a prêté un ouvrage qui a changé ma perception sur l’accouchement. J’aurai souhaité pouvoir le lire dès le premier car en phase de découverte, alors primipare, cela aurait été d’une aide encore plus précieuse. Comme on sait le passé est le passé, je ne vais pas le réécrire.

J'accouche bientôt

Lors de mon premier accouchement je ne voulais pas avoir recours à la péridurale. J’imaginais pouvoir accueillir mon enfant avec toutes les sensations présentes et accompagner mon corps. Plusieurs facteurs ont freiné cette décision et m’ont fait changer d’avis.

1er cas de figure: A l’approche du terme, trop de personnes autour de moi m’ont témoigné de leur accouchement en ne faisant état que de la douleur et de la souffrance. Je suis tombée dans la peur et ça m’a paralysé. J’ai donc opté pour la péridurale, mon action a été guidée par la peur et non plus par le cœur et tout ce que j’avais construis.

2eme cas de figure: Lorsque j’ai visité la cité sanitaire, ils avaient des espaces (2 ou 3 salles pour l’accouchement « sans analgésie » mais la sage femme insistait bien sur le fait que ces espaces n’étaient pas pratique et je ne me sentais pas rassurée. S’il y avait quelque chose qui dérapait, dans ma tête ça tournait cours et je n’arrivais plus à me projeter dans ses salles qui étaient pourtant adaptées à mon souhait au départ . Et pourquoi penser au pire ?? Et bien c’est ce qui m’est venu à l’esprit dans sa présentation.

3eme cas de figure Des témoignages autour de moi, ou plutôt des jugements (je pense que ces personnes ne pensaient pas à mal, elles exprimaient leur opinion, cf les accords toltèques!!!), « T’es folle de ne pas faire ça. Ca va te soulager. Si ça existe c’est que c’est important pour la femme enceinte. »

4eme cas de figure : D’autres m’ont indiqué ne pas savoir doser la pompe et ne rien ressentir quand à la poussée, moment alors décisif pour que bébé sorte. Là, nous atteignons les limites de l’analgésie, si le geste n’est pas maîtrisée la femme perd ainsi ses sensations.

J’ai envie de dire aux femmes enceintes pour qui la grossesse est optimale et dont l’état de santé ne nécessite pas de médicalisation, n’écoutez pas la peur des autres, ne vous laissez pas envahir par vos propres peurs. Fiez-vous à ceux qui vous accompagnent, aux professionnels et à votre ressenti. Non sans vouloir mettre la zizanie dans les relations amicales ou familiales, je souligne le fait qu’une femme qui parle de son accouchement est dans l’émotion, le recul et la raison ne sont plus là. Elle peut effrayer les autres sans s’en rendre compte. Surtout pour celles qui auront à le faire pour la première fois. Dites ce dont vous avez besoin à votre entourage pour qu’ils vous accompagnent dans le sens du bien-être et non pour semer des doutes et vous mettre mal à l’aise. Ils ne pensent pas à mal et si vous n’échangez pas ils ne sauront pas ce qui vous permet de vous sentir bien.

En parcourant cet ouvrage je retrouve confiance en cette étape de la vie qui demande un effort à la mère et qui me permettra de mobiliser tous mes sens. J’appréhende différemment la gestion de cette douleur tant diabolisée. Je visualise davantage ce moment où je serai en phase avec le bébé qui va naître et que je vais accompagner vers la sortie. Je ne dis pas que je n’ai pas peur, la peur est toujours présente, en revanche je ne lui donne pas l’importance qu’elle a pu prendre dès le dernier trimestre lors de ma précédente grossesse.

Les peurs sont bien souvent mauvaises conseillères, elles sont présentes et je les jauge mais je ne laisserai pas cette fois-ci guider cet accouchement. Je ne sais pas ce qui m’attend. Tout ce que je sais c’est que je vais vivre un instant inoubliable en confiance où l’amour sera présent et où j’aurai en amont fait un travail sur la gestion de la douleur. Ce n’est pas une fatalité, je vous invite à la lecture de cet ouvrage qui peut débloquer bien des noeuds dans votre esprit et vous faire avancer vers une autre vision de l’accouchement. Nous sommes toutes conditionnées par notre éducation, notre culture, nos lectures, nos relations. Parfois il faut faire un pas de côté et tenter de nouvelles expériences qui nous font avancer et grandir. Ce livre en fait partie.